1.Le texte est tiré de la Boite à Merveilles, roman autobiographique paru en 1954.C'est un roman autobiographique du célèbre auteur marocain Ahmed Sefrioui (1915/2004). Le narrateur nous y raconte une partie de son enfance. Il nous retrace la vie d'une famille marocaine à la médina de Fès. Le coiffeur du quartier vient de décéder, tout le monde est en pleurs. Le petit enfant vit intensément cet événement à tel point que le soir, il tombe malade.
2.Le narrateur se prénomme Sidi Mohamed (c'est lui-même le personnage principal) . Il est présent dans le texte grâce au pronom personnel « je »
3.Le petit enfant était un enfant très imaginatif. Dans ce texte, il s'imagine qu'il y a des anges qui descendent du plafond pour poser sur son lit sa Boite à Merveilles qui prend les dimensions d'un cercueil où il entrera tout heureux. Cela montre à quel point son imagination est fertile.
4.Il les imagine beaux comme la lumière, vêtus de soie blanche. La figure utilisée ici est la comparaison (comparé : les anges, comparant : la lumière du jour, l'outil de comparaison : comme)
5.Il imagine un cortège funèbre simple qui suit son cercueil ; quelques voisins, le fquih, son père et des milliers d'anges
6.Il fait allusion aux malheurs de si Larbi, le mari de Lalla Aicha, avec son associé Abdelkader qui l'a volé tout simplement.
7. Le petit garçon cachait dans sa boite des objets insolites tels que des billes, des boutons, des clous ...